RP : le jeu commence

Machken etait apparu, sa puissance nous avez tous mis au sol. Meme tous ensemble nous naurions pu le battre. Il commenca a procifere en Estru. Puis son regard se posa sur moi

Clarisse, cherie, je naurais jamais pense que tu reviendrais d-Outremonde, que tu te metamorphoserait et que tu aneantirait mon bras droit....
-Tu nas jamais beaucoup pense Machken, deja quand jetais enfant je te trouvais stupide.
-Ton esprit nest pourtant pas evoluer vu que tu tentoure d-incapables
-Ce sont des amis pas des vulgaires pions, je ne suis pas comme toi
-Tu devrais avoir plus de respect pour moi
-Pourquoi tu ne represente rien pour moi absolument rien. Dis moi ce que tu veux
-Mais clarisse je ne veux qu-une chose, ma fille, ainsi une fois quelle sera morte je naurais plus qua en sacrifie 2 autres et la prophetie sera finie
-Tu nas pas de filles , monstre
-Tu te trompe mon enfant...

Il mattrapa par le bras et je compris enfin ce quil voulait dire.....

Que la ceremonie commencent, retyi habillaient la

Invité

j'émmergeais d'un long tunnel...ma tete résonnait et j'avais afreusement mal.
Je rouvrit les yeux avec difficultées. La première chose que je vit fut Lui.
Puis, détournant mon regard, je vis que la bataille avait déja commencé:
Une sorte d'ange ressemblant a clarisse se débatait contre le monstre, alors qu'un...je ne savais pas comment le décrire...une sorte de mélange de Cheyenne et de Rafalon avec des ailes essayait de la libérer. En face de moi se trouvait Muse, sous sa forme humaine. Sauf que des cercles d'énergie courraient le long de son bras.
Clarisse dut remarquer que j'étais réveillée car elle m'envoya un message mental dans lequel elle m'expliquait tout. Elle était la fille de cette chose. Je me demandais comment, elle me répondit qu'elle m'expliquerai ça plus.

J'étais afreusement jalouse de ne pouvoir me transformer moi aussi: ils s'étaient tous métamorphosé et moi je restais dans ce petit corps fétiche de jeune femme.
Qu'a cela ne tienne. Muse le remarqua. Avant que je ne puisse rien faire, je me mis déja a léviter sans que je le controle, et une lumière jaunatre m'entoura. J'étais avaueglée et une douleur me perça les cotes.
Alors que je tentais de crier, je ne ressentai déja plus rien, plus rien du tout. J'étais appésée, zen, et détendue.
Le nuage de lumière se dissipa, et a ma grande surprise je vis que Muse m'avait provisoirement changée: Mon corps de femme aux yeux blancs et aux cheveux roux n'était plus le meme.
A sa place se tenait une belle femme, envellopée d'une logne tunique blanche. Mes cheveux était coiffée en chignon avec quelques méches qui retombaient sur ma nuque. Dans mon dos, une paire d'aile avait poussée, de grandes ailes blanches. Dans ma main droite, il y avait une fourche de métal, et dans ma main gauche se tenait un bouclier d'opale et de nacre.

Avec un regard vers Muse, je compris qu'elle n'avait fait qu'activer cette transformation. En effet, je reconnus dans un reflet de lac cette apparence. C'était Baâla, ma déesse.
Ma lignée (une lignée de grandes prétresses maitrisant l'art du ciel et composé exclusivement de femmes) avait jadis une déesse. Baâla. Elle maitrisait toute l'énergie de la foudre et du ciel.
La légende disait qu'elle se réincarnerait un jour dans une des femmes de la lignée. Je n'y avait jamais cru.
Replongeant dans mes souvenirs, je me rapelais le jour du décès de ma mère. Elle m'avait regardé droit dans les yeux. Puis elle avait dit dans son dernier soupir: je suis fière de toi, Baâla.
Je compris alors que tout le monde savait depuis le début qui j'étais, sauf moi meme. On m'avait caché la vérité pour me protéger de cette puissance. Mais aujourd'hui je savais que j'étais capable de maitriser cette force.

Les tentaves de Cheyenne-Rafalon pour essayer de délivrer Clarisse de l'étreinte de Machken échouèrent. Meme avec la puissance du vent et du dessin, rien n'y faisait.
A chaque seconde qui passait, Clarisse semblait perdre de la force, et Machken en gagner.
J'étais en rage. Cet homme avait tenté de me tuer et maintenant, il s'en prenait a Clarisse! La rage me submergea. Toutes les techniques de controle de pouvoir que j'avais acquises en m'entrainant a la méditation se mirent a s'activer. Encore une fois, je sentis l'ernergie courrir le long de mon corps. Je m'apprétais a faire tomber le foudre quand mon regard se dirigea vers la fourche. Je compris alors ce que je devais faire.
Je fis un mouvement du bras et les éclairs jaillirent de la fourche.
Ceux frappèrent de plein fouet Machken qui lacha enfin Clarisse. Celle ci tomba sur le sol, haletante, essayant de retrouver sa respiration. Je me mit a voler, et je me rendis compte que c'était comme ci j'avais toujours su le faire. Machken se plaçait déja en lévitation stationnaire. Avec un nouvelle éclair de ma fourche, je le frappait. L'éclair le percuta de plein fouet mais il ne bougeat pas. Il se mit alors a psalmodier un langage ancien et je compris que le pire s'abbatrait bien bientot sur moi et sur les autres...

Comment n'y avais-je pas pensée plutot? La transformation, je savais déja le faire! Je savais meme fusionner...En me concentrant, la foudre s'abatit sur moi. Je me mit a fusionner avec elle comme je savais déja le faire, et mon corps de déesse changea encore quelque peu, les traits de la foudre s'incrustèrent en moi. J'étais encore plus puissante. Puissante, mais exténuée. Je ne tiendrais pas longtemps ainsi. Ces transformations avaient absobées mon énergie et je savais que je ne pourrais frapper qu'une fois. Une seule et puissante fois.

Avec dernier regard vers mes amis, je concentrais mes pouvoirs. De mes mains jaillirent de l'electricité, de ma fouche fusèrent des éclairs, et du ciel tomba la foudre. Il y eut une gigantesque explosion.

Je perdis connaissance, plus proche de la mort que de la vie, et commençais a tomber dans le vide...

Je finis par tomber dans le lac. Je ne ressentis pas l'air manquer a mes poumons, je ne ressentis pas le froid de l'eau s'insinuer en moi. J'étais déja morte.

Je me trouvais dans le meme endroit, mais j'étais apésée et je me sentais bien. Sur mon passage les fleurs germaient et je compris que j'étais sur Outremonde, le passage entre la vie et la mort.
Je continuais a avancer vers la lueur au bout de ce grand jardin, mais une voix me dit:
-tu ne dois pas mourrir Baâla.
-je...je ne suis pas Baâla! fis-je.
-dans ce cas, il me semble que les déesse sont immortelles...dit la voix.
Je me retournai. Baâla se tenait la, devant moi. Elle tendit le plat de la main vers moi. Sans réfléchir, j'y apposait ma paume.
"Notre destin est donc scélé", murmura-t-elle.

Je ressentis une vive douleur. Mes poumons manquaient d'air. Le froid de l'eau me glacé. Je me mis a battre des pieds et des bars et je trouvais bientot la surface. J'avais retrouvé ma forme initiale, celle de la vrai Brume et je me sentais d'attaque...

Invité

j'étais inspirée lol

Machken riait comme un demon , et moi ,pauvre idiote je me debattais.
Je savais que cela etait voue a lechec mais que pouvais-je faire?
Je revenais deja de la mort, on ne me laisserais pas une deuxieme chance...

Soudain je vis Brume se reveillais, je me depechai de tout lui raconter avant que Machken est aspire toute mon essence vitale...
Je regardais autour de moi, Cheyenne et Rafalon se battait vailamment mais je savais qu-ils netaient pas assez puissant.
Il nous fallait laide d-un Dieu.
Puis , dun coup, je fus projetee au sol, Brume setait aussi metamorphoser et mavait delivre.
Pour combien de temps ?

Je me dirigeai vers Duncan et le suppliais de se reveillait et de combattre

Il ne se levera pas , Clarisse

Je me retournais, jetais de nouveau encercler par des spectres, et Brume etait au sol , dans Outremonde.

Machken, il y a dautres moyens detre puissant
-Mais pas de dirigeais lunivers, mon enfant
-Tu dois bien avoir une lueur de bonte
-Aucune, c pour sa que tu va mourir et tes amis aussi

Pendant notre discussion, Brume etait revenue,elle assimila un rayon a ceux de Cheyenne et Rafalon. Muse les rejoint et ils creerent un sort des plus puissant.....

Machken secroula inerte sur moi. Je pleurai, mais plus de peur, juste de me sentir enfin libre et de voir mes forces revenirent....

Je lamene a la Confrerie,dit Muse..

Ouah !!! impressionant Princess...

L'histoire est presque finit... Faut faire autre chose... J'ai peut etre une idée... lol

Muse prit Machken, puis commencaa a se teleporter. Il fut impossible pour elle. Pourtant, Gwendila, étant morte, lui avait re constituer ses pouvoirs...

Muse se transforma en poussiere. Machken tomba lourdemment sur le sol alors que Gwendila se relevait en toute legereté... Se voix n'etait plus la meme. Sa voix etait grave. Sa voix ressemblait etonament a celle de Machken, car elle lui appartenait !!!!

"-Mon enfant... aurais-tu oublié la transportation de corps differents ??? C'est bien dommage... Tu as fais rennaitre votre mort a tous... Pour Muse... C'est trop tard !!! Elle m'a bien servit, autant que Gwendila !!! Mais elles se sont entretuées sans le savoir... Entre soeur... Que c'est dommage !!!

Il rigola de son rire irronique.

"-Infamme creature..., murmura Clarisse
-Infamme pere que je suis !!!

Et il reprit son rire, encore plus glacant que jamais...

"- Pourquoi remettre a demain ce que l'on peut faire maintenant ???

Il regarda Brume :
"-Tu seras la premiere !!! Tu m'as cosé trop de soucis, Déesse... Tu restes immortelle, mais seulement apres avoir scellé ce que vous appeller betement, le destin !!! Mais tu ne l'as pas fais... C'est si dommage !!! Miserable !!!

Et il projeta sur Brume une boule de feu, si grosse que malgré le vent qui s'agitait dans le corps que nous partagions et qui provoquait une fraicheur intense, la boule de feu nous brulée interieurement. Elle percuta Brume. Celle ci disparue. CLarisse pleurait. Avec surprise, nous la vîmmes derriere le corps de Gwendila. Elle lui tapota l'epaule, pour disparaitre a nouveau, et reapparaitre aux cotés de Clarisse.

"-Merci Baâla !!!, cria Brume

La veritable Baâla apparut. Elle lui sourit et lui dit :

"-Merci a toi..."

Machken, prit de peur, se volatilisa. Les cendres de Muse Du Temps s'envolaient peu a peu... On ne pouvait plus rien pour elle....
Je repris mon corps, Rafalon aussi. Ca ne serait pas a refaire, il etait trop dur de controlait avec deux esprits. J'en fis la remarque, l'atmosphere se detendit peu a peu, laissant le rire prendre le dessus.

Baâla ne riait pas pourtant. Elle nous rappela a l'odre :

"-Machken a peut etre perdu cette bataille, mais pas la guerre !!! Il vous recherchera !!! Il risque de tuer d'autres personnes, car il ne peut rester dans le meme corp plus de 24heures !!!! Faites attention... Je dois m'en aller dorenavant. Brume, tu sais où me contacter ?
-Oui, déesse.
-A bientot Baâla, dit la déesse avant de s'enfoncer dans l'eau pure du lac."

-Bon, et sy' on y allait ???"

et bien les filles je pense que si on copier-coller tout ce quon a ecrit je pense quon verrai un chouette petit livre, c vraiment super

idée ma effleuré lesprit a un moment... lol

sans blague vous etes tres impressionantes , je vais lenvoyer a un cousin quil me donne son avis

et voila je m'absente pendant une journée et tt le monde m'a déja oublié!!! je rapelle que j'écris moi aussi sur le Rp meme si certaine n'aime pas....snifff!

Les cendres de Muse s'éparpillaient.
Brume tomba a terre, et une crise de larme s'empara d'elle. Cheyenne s'accroupie a coté de son amie, ainsi que Clarisse et moi meme.
Notre étreintes la consola un peu mais elle ne pus retenir ses larmes. Nous le comprenions, et bientot la tristesse s'empara de nous tous. Nous venions de perdre bien plus qu'une alliée. Nous venions de perdre une amie...
Le ciel bleu s'obscurcit soudain. Un éclair zébra les nuages et Baâla apparue.
"Brume, relève toi! ordonna-t-elle.
-Laisse moi tranquille, je ne peux pas...répondit celle ci en sanglotant
-Brume, fait ce que je te dis!
-Baâla! pitié! accordez nous un peu de repos", supliai-je.
Elle ne me répondit meme pas. La déesse agita sa fourche et Brume se retrouva sur ses pieds.
"Bien!" dit-elle
Elle dirigea sa fourche vers les cendres. Un éclair en jaillit. Les cendres commencèrent a se coller les unes aux autres et pour finir le corps de Muse se reconstitua. Mais elle était toujours morte. Meme Baâla n'y pouvait rien.
"J'ai fait ce que j'ais pu..."murmura-t-elle avant de disparaitre.
Si Baâla ne pouvait rien faire, alors personne d'autre ne le pourrait. Brume se remit a pleurer de plus belle, puis elle se releva, essuyant sa dernière larme. Celle-ci tomba sur le sol et un lys germa en quelques secondes a cet endroit. Elle le cueillit et le sentis. L'image de Muse s'imposa alors a elle et Brume sourit
"Elle n'est ni vivante si morte. Elle reviendra."
Sur ceux, elle partit vers le lac, son endroit préféré de méditation et se mit en position du lotus au dessus. Sa méditation commença et nous savions qu'il serait impossible de lui poser des questions pour le moment.

Enfin, Nous nous rendimes compte que les larmes de clarisse, revenue sous sa forme humaine, coulaient toujours le long de ses joues.
"Duncan", murmura-t-elle.
Duncan gisait toujours sur le sol et n'avait pas repris connaissance.

Je ne savais pas si l'aventure valait la peine d'etre vécue. Pourquoi ne pas abandonner puisque nous étions promis a une mort certaine tous autant que nous étions? Je soupirais. Jétais pret a renoncer. Cette aventure m'avait fait plus de mal que de bien. Je repensai a tous les morts causés par Son armée alors qu'ils détruisaient la porte d'AutreVie.
Je me souvint les milliers de personnes délivrées dans le labirynthe, mort tué par Gwendila.
Et maintenant...et maintenant Muse et Duncan qui n'allait pas fort. Il respirait difficilement et semblait entre la vie et la mort.

Mais mon regard se tourna vers Cheyenne. Je ne l'aurais sans doute jamais rencontré si je n'étais pas arrivé a autrevie pour Le combattre.
Tout compte fait, rien que ce point me tira un sourire amer.

Peut etre que l'aventure valait la peine tout compte fait...

Meuh non enchanteur toi aussi c genial (jaime beaucoup ton dernier message mais je parlais aux filles car setait les dernieres a avoir ecrit

Jetais assise pres de Duncan, esperant qu-enfin il se reveille. Je nai pas trop suivi ce qui se passait mais Muse etait morte et Brume semblait completement aneantie.
A ce moment-la je m-en voulu de rester au pres de Duncan alors que ma soeur adoptive avait aussi du chagrin. Mais je ne bougeai pas, ma maternite semblait s-estompe... Je compris alors pourquoi ma mere netait jamais revenue d-Outremonde.

Soudain, Cheyenne prit les commandes de la troupe. Cest ainsi qu-apres 2heures de marche nous etions arrives a Autrevie.
Rafalon qui avait portait duncan, le deposa sur un lit de la taverne et descendit servir a boire a tout le monde.
Pendant ce temps je cherchai dans les grimoires de ma mere, un remede pour mon fiance....

Fatiguee de mes recherches inutiles, sale dans mes vetements dechires, je rejoignis mes compagnons et pris une tisane.
Jalla d-abord parler avec Brume et NOXXX mais ceux-ci ne voulaient pas parler, ils ecoutaient avec amusement Rafalon et Cheyenne

-Mais Cheyenne demande une vraie bonne raison
-Tu es vraiment stupide parfois, regarde un peu comment Clarisse est aneantie quand Duncan va mal. On dirait une novice en magie...
-Et ce nest pas grave ce sont des moments de baisse
-Moi je lai trouve trop frequent et l-analiste...
-Donc en fait c lui qui ta interdit detre avec un homme?
-Mais non mais tu vois . Tu ne me comprends pas
-Oui je te comprends pas et me je taime .... Et c un bon debut

Rafalon partit une larme a loeil quand Duncan commenca a descendre l-escalier. Il navait pas la belle allure de general que nous lui connaissions. Jaurai du etre heureuse mais quand il m-embrassa je ne ressentis rien...
Etait-ce les paroles de Cheyenne ou le prix que je devais payer davoir survie?

Nos compagnons nous laisserent et Duncan me demanda de tout lui racontait en details. Ce fut ce que je m-evertua a faire.
A la fin du recit il me regarda avec tendresse et me dit

Alors nous naurons jamais d-enfant
-Jamais
-Mais limportant c quon soit ensemble
-Justement je ne croit pas que nous devrions continuer a etre ensemble
-Pourquoi, de dit-il avec des yeux suppliant
-Duncan, ma mere represente la purete meme les ailes quelle ma legue sont pure et mon pere le mal absolu. Tant que je naurais pas 25 ans, les deux cotes essayeront de s-emparer de moi. Je ne peux prendre le risque. a partir d-aujourd-hui, je ne veux plus que se soient des yeux d-amant qui se pose sur letre aime mais des yeux de general sur une guerriere.

Sur cette phrase je le quitta et rejoignit ma chambre . Assisse sur mon lit, je commencais a pleurer mais je savais que javais pris la bonne desicion...

Je montais les escaliers doucement.
Arrivé devant la porte de Clarisse, je toquai doucement la aussi, réfléchissant a ce que je pourrai bien lui dire...
Elle ne répondit pas mais je l'entendais sangloter de l'autre coté de la porte. J'ouvris la porte, et elle leva sur moi des yeux tristes. Une perle salé roula le long de sa joue (ou sucré lol de tte façon cette expression devient une habitude pour moi...)
"Laisse moi tranquille, je veux etre seule, murmura-t-elle.
- ce n'est pas bon d'etre seule dans un moment pareil..."répondis-je.
Je m'assis pres d'elle sur le lit.
"Je sais ce que tu ressens, je le savais d'ailleurs bien avant que tu le ressente. Mais je me sens coupable...
- Pourquoi? tu n'y es absolument piur rien! s'étonna clarisse
- J'aurais pu te prévenir...En fait, il y a quelques heures, j'ai eu une vision. La vision de ta rupture avec Duncan.
- En quoi cette vision te permet-elle de ressentir ce que je ressens?
- Je pense que mon don pour les prémonitions s'est acrut et maintenant je "vis" ma vision. Je ressens toutes les émotions meme la douleur alors imagine si ma vision est celle de quelqu'un qui souffre!" tentai-je de plaisanter.
Ma boutade tomba a plat.
Clarisse repartie dans une crise de larme.
Je jugeai parler ne servait a rien et j'assaiyai de la consoler comme je pus. Apres avoir ruminé des idées noires pendant presque une heure avec elle, elle finit par tomber de sommeil et s'endormit.
Je me levai et fermai la porte de sa chambre sans bruit, la laissant aller dans le monde des songes.
Quand je redescendis dans la salle commune de la taverne, Cheyenne était la seule encore debout a cette heure. Je me rendis compte qu'il était plus de deux heures du matin.
Elle me regarda et je sentis mes défenses "fondre".
"Alors? me demanda-t-elle.
-Elle va bien, elle est juste fatiguée et triste
-Je ne parlais pas de Clarisse. Je parlais de nous. Ou en ai-t-on vraiment?"
Elle se leva et s'approcha de moi.
Personne ne sut jamais ce qui se serait passé si NOXXX n'était pas descendu a ce moment.
"Je ne trouve pas le sommeil alors je viens chercher de la compagnie."
Cheyenne lui sourit et retourna s'assoir dans le fauteuil...

Le soleil setait enfin leve,il faisait magnifiquement beau et mon coeur en etait joyeux. Les paroles de Rafalon et les songes que mavait glisse ma mere pendant mon sommeil mavait calme.

Je descendis sur la table quelques verres trainaient. Je rangeais tout et commencai a apres un bon petit dejener. NOXXX arriva le premier ,lorsqu-il netait pas encore bien reveille il ne paraissait pas avoir 15 ans mais semblait plus jeune. A cette pensee, je pouffa. Peut etre ne serais-je jamais mere mais je retrouvais une famille en mes compagnons.

Suivirent rapidement Cheyenne et Rafalon, qui netait plus morose, puis Brume .
En emmenant le repas je leur dis

Si nous faisions un pique-nique aujourd-hui?
-Bonne idee, sexclama Rafalon
-Alors les filles allez vous habiller, dis/je
-Pourquoi, interrogea Ewilan
-Dans la tradition lorsquon organise un pique-nique les femmes celibataires shabillent de robes blanches

Mes 2 amies me regarderent bizarrement puis partirent se changer.
Quand elles descendirent, un quart d-heure plus tard, elles etaient magnifiques. Deux boutons de roses en train declore...
Et dire que je nen ai jamais eu le temps avec mon mariage precoce...
Pourquoi le passe me rattrapait-il? Peu etre parce qu-il netait pas si simple ,que je ne vivais plus pour etre une epouse et une mere mais pour survivre devant un pere malevique...
Je montait a mon tour, enfila une legere robe blanche que les elfes de la Foret mavait offerte mais je mis une gavroche noire sur la tete pour montrer les differents deuil que je portais.

Lorsque je fus enfin en bas , je declarai joyeusement

Allons-y

Il nous fallait maintenant choisir une destination. C'était bien beau de vouloir faire un pique nique mais avec toute la volonté du monde comment trouver un endroit autour d'autrevie "saint" qui n'avait pas encore était souillé par le sang...
Enfin, sur la carte, Cheyenne remarqua une clairière traversée par une petite rivière ou nous ne nous étions encore jamais aventurés. L'endroit était a une heure avec nos moyens de trasports: une simple charette tirée par deux chevaux.
Pendant le voyage je remarquai que Cheyenne n'était pas totalement vétue de blanc. Sa robe a l'aspect blanc était en fait couleur creme et je une pensée illumina mon esprit. Clarisse avait di que les femmes célibateires devaient s'habiller en blanc. Cheyenne n'était pas vraiment en blanc.
Je pris conscience que mon esprit me jouait sans doute des tours et je me forceait a ne plus penser a elle.
Je tournai la tete pour éviter toute tentation et mon regard dériva sur le paysage. On voyait au loin, a une bonne cinquantaine de kilomètres sans doute, la mer. La relief était entièrement plat, une giganstesque plaine s'ouvrait a nous.
Enfin, quelques minutes plus tard, nous arriveames a proximité de notre lieux choisi sur la carte.
L'endroit était en effet magnifique et les effluves de la foret toutes proches enchantaient nos nez.
Il nous restait une petite heure avant de manger alors nous profiteames pour admirer le spectacle, papoter, certain allèrent faire trempette dans la rivière et au bout d'une demi heure je pensais toujours a Cheyenne.
Je décidai de m'isoler car je savais que je me faisais plus de mal que de bien en restant pres d'elle.
Pretextant l'envie de réfléchir seul, je me levai et parti pres de la rivière. Je m'assis sur un rocher proche et je contemplai le spectacle qui s'ouvrait sous mes yeux. Je restai un instant a contempler la nature puis Clarisse vint vers moi.
"Ca ne peut pas durer, me dit-elle. Tu m'as aidé hier pourtant je ne sais pas comment te rendre la pareille. Tout ce que je peux faire c'est te parler. Il parrait que les mots soulagent parfois...
-certaines blessures ne se referment jamais, répondis-je.
-mais le soutient peut aider, insista Clarisse.
-je vais partir, Clarisse. Je partirai sans doute demain. Je ne peux pas rester. Je ne tiendrais plus longtemps. Elle me hante..."
Clarisse allait répondre mais je fus plus rapide.
"Tes mots n'y changeront rien", dis-je en la regardant dans les yeux.
La bouche a demi-ouverte, elle s'interrompie. Elle me lança un dernier regard plein de tristesse avant de s'éloigner pour retourner avec les autres.
Une larme coula sur ma joue, puis une autre la suivit. Je me mis a pleurer silenciesement, l'esprit torturé par une image. L'image de Cheyenne...

Plus tard, on m'appela pour manger. Je ne répondis meme pas. Je n'avais pas entendu. Je ne voulais plus rien entendre, plus rien voir. Plus rien sentir non plus.
Malgres ça, dans ma tete revenait l'image de Cheyenne, ainsi que sa douce voix et son odeur...
J'allais devenir fou. Je rouvis soudain les yeux. Une légère secousse électrique me parcourue le dos, signe qu'une vision approchait.
C'était un champs de blé, aux douces odeures calmes et apaisantes.
Pourtant je sentis que cette vision n'était pas comme les autres. Quelqu'un me forçait a ressentir la sereinité. Puis soudain tout s'éclaira dans mon esprit.
Je n'ouvris pas ma bouche et ces mots restèrent dans ma tete:
"Laisse moi tranquil Clarisse. Je sais que tu me veux du bien mais j'ai déja l'esprit assez tortué pour que tu t'y immisse.
-Comme tu voudras, répondit-elle mentalement"
je me sentis plus vide quand elle fut partie. Plus vide que jamais. J'essayais de ne plus penser a Cheyenne.
Je devais normalement partir des ce soir des que tout le monde serait couché. Mais je me rendis compte que je ne tiendrais pas jusque la. Il fallait que je parte maintenant. Ma sentée mentale en dépendait.
Je me retournai et Clarisse me regarda. Elle établi la connexion mentale.
"Au revoir Clarisse. Dis aux autres que je vous aimai tous..."
Avant qu'elle n'est pu m'en empécher, je réitai une incantation, l'air se troubla autour de moi, et je disparut...

Et on recupere comment maintenant?

ba tu te débrouilles lol

Bon il va y avoir une coupure de 2 minutes le temps que je me connecte sur nikita

J'avais trop bu. tout était flou, mais j'aimais ca !!! Une sensation de liberté m'envhissait... Je n'avais pas remarquer que Clarisse et Rafalon etait parti. Nous commencions a chanter. Je pense que je restai tout de meme la plus saoul, et que je provoquais des rires, meme si je n'en étais pas consciente. Les arbres tournaient autour de moi, et le verre a la main, je gobait le pain devant moi. J'avais un comprotemment indigne devant mes amis, qui eux étaient si noble dans leur coeurs... Mais comment changé un passé de rue entre un passé de chateau ? Impossible...

Tout tourna autour de moi...
Il n'y avait plus rien autour de moi...

Une voix raisonna...

"-Ouvre les yeux Kim...
Je ne les ouvrais pas.
-Ma petite Kimy, ouvre les yeux...
Je ne les ouvrais pas.
-Yaho qui nowa restouvaldé quoui...
J'ouvrais les yeux. Je murmurais :
-Maman...
-Oui, Kim...
-Pourquoi es tu partis ?
-L'on m'a chassé de chez moi... L'on m'a tué quand tu es née... Je ne pouvais plus rien faire...
-Maman... Reviens a moi... Tant de chose se brusque dans ma pauvre tête... Aide moi !
-Je ne peux pas Kim... Tu me manque ma cherie... Avant que tu ne te reveille réellement, je vais t'expliquer la question que tu ne t'es encore jamais posée...
Il y de cela 326ans, une enfant naquis dans le pays d'Ys... Elle avait un don... Celui de dessiner par la simple pensée... Tout ceux de sa lignée y ont eu droit... Tu y fais parties ma chérie... Cette dame n'etait pas nombe a la naissance, mais elle le devint. Ses descendants aussi. Tu n'es pas née pour vivre dans la rue, ma chérie... Tu deviendra noble... Si tu veux vivre, ne fais pas d'enfants... Dès que tu auras accoucher, les esprits se mettront en quetes de te tuer... Mais fais un enfant ma chérie... Il devra suivre ta destinée... N'utilise ton don seulement pour le bien d'autrui... Non pour le tiens, cela serait une erreure fatale ! Maintenant que je t'ai expliqué cela... Reveille toi et conduis toi comme une noble ma chérie... Ne dis rien a personne de notre petite discution...
-Mere... Pourquoi Kim, alors je me nomme Cheyenne ? Cheyenne est la nom que ton pere voulait te donner, mais tu t'appelles réellement Kim... A toi de choisir a present...
-Une derniere question, qui est mon pere ?"

Tout commenca a tourner autour de moi, et je me reveillais dans la prairie. Les autres autour de moi.
Maitre Duncan murmurait :
"-Mais pourquoi a-t-elle bu ainsi ???
-Les approuvaient. Je me sentais confuse, honteuse, et javais mal a la tete... Je saignais d'ailleurs. En tombant, ma tête avait heurté un petit cailloux, et l'alcool jouait aussi... Je leur expliquait ma confusion et ma honte, je leur demmandais pardon, ils me regarderent avec un sourire. J'étais pardonnée...
Brume mit fin a ce spectacle en annoncant :
"-Clarisse est partie, ainsi que Rafalon, Rafalon n'avait pas l'air bien, on aurait dit un fou...
-non, ca n'est pas possible, murmura de nouveau Duncan, il n'a pas pu etre envouté par Machken...
-Non, dis-je, c'est a cause de moi..."

Il y avait eu un éclair, j'avais disparus. Je flottais a présent entre les nuages. Je venais de me découvrir une nouvelle capacité: celle d'utiliser le vent pour léviter...
Mais je m'en contrefichai. Je venais de partir, je ne voulais pas revenir en arrière...
J'allais ou le vent me guidait, mais quand la nuit tomba je dus bien me poser pour installer mon campement, et peut etre meme m'y installer définitivement. J'étais dans les montagnes, les plus hautes montagnes de la région apparement. Je trouvai vite une grotte pour y installer le peu d'affaire que j'avais puis j'allumai un feu.
A l'auble, je fus réveillé par un cri, un hurlement plus précisément. Le hurlement d'un loup du nord...
Les loups du nord étaient connus pour leur férocité sans égal et se déplaceaient toujours par meute. C'est cette pensée qui me fit frissonner: je pouvais facilement venir a bout d'un loup du Nord, mais contre toute une meute j'étais perdu!
Je sortis précipitament de mon abri, scrutant le paysage matinal. Et je les vis.
Une bonne vingtaine de loups...J'étais sans doute sur leur territoire et il m'avaient repéraient grace a mon odeur! Mes dons ayant étaient réduits à néan les jours derniers, il ne me restait plus que la capacité de voler et d'avoir des visions que je pouvais encore utiliser. Mais voler ici était impossible à cause du plafond tres bas de la caverne dans laquelle j'étais et mon don d'avoir des visions ne me servirait point à grand chose contre ce genre de bestiolles!
Les betes approchaient lentelements, apparament ravie de me voir paniquer. Un filet de baves dégoulinait de leurs babines.
J'attrapais mon épée à la hate et, alors que le premier loup se jetait sur moi, mon épe le transperça. La bataille commença, je tuais quelques loups, mais ils me submergèrent rapidement...
Mais bizarement, ils ne me tuèrent pas. Ils me bléssèrent, me firent souffrir, mais ne me tuèrent point.
Alors que les loups m'immobilisaient, une silhouette masculine émergea de l'obscurité.
"Comme on se retrouve, Rafalon."
Je reconnus cette voix. C'était Machken. Il avait encore un nouveau corps et je me rappelais qu'il avait pour malediction de changer de corps toutes les 24heures.
"Machken, tues moi!
-Il en est hors de question. Tu vas etre l'arme de ma vendeance, me répliqua-t-il. Tu tueras Cheyenne, ou devrais-je dire Kimy, de tes propres main, et tu assisteras à sa mort douloureuse sans rien pouvoir faire..."
Les loups s'éloignèrent alors qu'il avançait vers moi, et je compris que les loups lui obéissait. Lentement, il s'approcha, puis enfin il attrapa mon épée, m'ouvrit une longue entaille dans le bras, puis se l'enfonça dans le coeur.
L'homme hurla de douleur et l'esprit de Machken commença à pénétrer en moi. J'essayais de le combattre de toutes les forces de mon esprit, mais j'étais trop faible, beaucoup trop faible!
Puis je ne ressentis plus aucune émotion. Je n'avais plus le controle de mon corps, le seul sens que j'avais conservé était la vue.
Lentement, mon corps se redressa, et Machken éclata de rire avec ma propre voix.
"En route, murmura-t-il. Je dois rendre visite à tes merveilleux amis..."

<<-Comment ça ?, demmanda NOXXX
-Réfléchit un peu !!! bougre d'ane, repondit Brume, pourquoi Rafalon avait-il l'air de perdre la tête ??? Tout simplement par amour !
-Ahhhhhhhh... >>

Je m'enfuiyais.

Je partais.

J'allais le retrouver.

Un arbre.

Un grand arbre.

Un chêne.

Ma tête me fait mal.

Je grimpe.

Le vent dans les feuilles me reconforte. Le don de Rafalon n'est pas épuisé. Mais quelle idée lui a prit de partir ? Machken a nos trousses... Il est si faible... L'amour lui fait perdre la tête. Et ma tête me fait mal. Tant de choses se precipite autour de moi... Je viens d'apprendre des choses oubliées par le passé... Pourquoi nous fait-on tellement de mal ? Pourquoi se ruent-ils sur nous, comme des bêtes en chasse... Nous, simple proies, par millier, par milliards, nous nous retrouvons exclus de tant de choses qui sont pourtant si presente, si pres de nous... Mais nous avons des capacité, des faiblesses, des qualité, des douleurs, tout comme de vrais être humains... Mais pourtant....

Un cri raisonne dans ma tête. Un rire sonnore lutte contre lui. Jai mal... Tres mal... Rafalon... C'est lui... Machken... C'est lui... Ils sont tout deux a mes trousses... Pourquoi ? Pourquoi ?

Les feuilles s'envolent. Le pouvoir de Rafalon s'agrandit...

Les feuilles reviennent... C'est un message !

Il est déja trop tard. Machken peut passer d'un endroit à un autre par la pensée, toujours accompagnés de ses loups du nord.
Les loups courent...Hurlent...Un filet de bave dégouline de leur grande geule...les crocs sont pret à arracher...à faire souffrir...Cheyenne est perdue. Moi je vois tout, mais je suis impuissant. C'est comme si j'assistais à un spectacle. Je ne suis pas présent dans le film. Pourtant je vois tout. Je ressens tout aussi...Si machken se fait tuer dans mon corps, il ne ressentiras rien. Rien...C'est moi qui mourrait et il survivra...

Nous passons d'un endroit à un autre en quelques secondes. Machken utilise toute sa capacité magique pour les retrouver...Je sens que son esprit boue. Il veut se venger, il veut tout détruire! Il veut aussi récupérer nos pouvoirs et devenir plus puissant encore. Il veut s'imprégner du sang de Brume car elle est la réincarnation de Baala, il veut l'esprit de clarisse pour posséder la pureté de son ame, il veut le corps de NOXXX pour aquérir de grands pouvoirs obscurs et il veut Cheyenne...Son don lui fait envie. Un don énorme si il est bien maitrisé. La pauvre n'en a meme pas conscience! Et dire qu'il lui suffirait d'un Dessin pour faire exploser le monde entier...

Nous arrivons bientot sur les rives d'une rivière. Je la reconnais aussitot: c'est la rivière proche de notre pique-nique. Mais Cheyenne n'est pas la. Je le sais. Je le sens...Je suis connecté à elle d'une façon inconnue, elle est proche d'un arbre et je sens qu'il me faut la sauver... Avec une intense concentration, j'use de mes dernières défenses pour lui envoyer un message. Pres de son arbre, les feuilles s'agitent. Elles toubillonent un instant puis s'alignent dans un ordre précis. Le message se forme.
"Fuis pauvre idiote! Il est en moi! Sauves toi!"
Nous arrivons pres du pique nique. NOXXX nous apperçoit. Il hurle et les autres se retournent. Ils n'ont aucunes chances mais il se défendront jusqu'au bout.

Machken peut, en plus, utiliser mes dons. Les autres ne savent pas encore à qui ils ont affaire et ne le sauront surement pas. Machken utilise aussi ma voix et il leur dit qu'ils vont mourrir. Tous mourrir.
Les autres ne comprennent pas ce qui m'arrive. Clarisse tente de sonder mon esprit mais Machken dresse une barrière infranchissable. Machken leve ma main, et Clarisse se retrouve projetée au sol. Les autres déguènent leurs armes. C'est la fin...

___________
pff c'est trop nul!!! et n'essayez pas de dire que c'est pas vrai ou autre, je sais que je peux faire bcp mieux!

Je croyais que devant moi ce tenait mon ami, mais a peine avais-je essayer de lire son esprit mais j'avais reconnu mon pere.

Soudain je vis des Loups du nord arrivaient, bien que j'etais au sol je sentais mes amis qui allaient foncer dans le tas. Je devais les arreter .

N'attaquez pas , je peux les controler, leur dis-je telepatiquement.

Je n'avait plus qu'a me levait, mais Machken me clouait au sol.
Je commencais a chanter, les loups s'arreterent et s'allongerent sur le sol.

Que fais-tu, hurla Machken
-Ce qu'on m'a appris
-A maitriser les betes sauvages?
-J'ai vecu plusieurs annees dans la foret noir
-Je ne pensais pas que ce bon a rien serait assez malin pour me trahir
-Personne ne va te croire. Je te propose un pacte que tune peux refuser.
-Tu emmenes Dunan et moi dans la forteresse et tu lache rafalon
-Tres bien
-Attends qu'est-ce qui te prouve qu'il le fera, interogea Cheyenne?
-Il a besoin d'un corps, il prendra duncan et je suis assez forte pour le maitrisais
-Tu es surtout folle ma fille

Et le corps de rafalon s'ecroula, Cheyenne courrut le rejoindre et d'un coup je fus transporte dans un monde blanc, il faisait froid, ce monde me rappeller Outremonde. Mais vite des spectres et des horreurs arriverent et me battirent bien que je souffrais aucune trace de blessure apparaissait sur mon corps. A cote de moi ce tenait l-homme que j-avais aime si longtemps. Il etait beau, majestueux, fort mais savoir que son corps servait de couvertures a l-atroce etre qu-etait Machken me degoutait au plus haut point.
Enfin nous arrivames, l-endroit etais magnifique fait d-or et de diamants...
Je reconnaissais cet endroit, le chateau de mon pere
Machken ou est mon pere
-Devant toi
-Pas mon geniteur mon pere
-Dans un lieu ou tu le rejoindras bientot

Invité

qqun peut m'expliquer ce que l'on doit faire ici

va sur le post "RP personnage je t'explikerai"

-Rafalon ! Excuse-moi... Je n'ai pas pu les laisser... Te laisser !!!

Il gisait sans vie, sur le sol... Machken l'avait quitté trop brusquement pour que son corp accepte. Il avait souffert. Il n'était pas mort sur le coup, son corp avait été pris de convulsions, pendant pres de dix minutes, pour ensuite que tous ses membres arrete de bouger, qu'il retombe lourdement sur le sol...

-J'aurais du venir avant... Te dire tout de suite mes pensées... Ca t'aurait évité la mort... Je me sens si coupable...

Comment exprimer mes sentiments alors qu'il est mort... Alors qu'il gît, la tete sur mes genoux, inconscient, innocent...

Pourquoi nous avez-vous donnés ses dons ? Nous ne vous avons rien demmander ! Nous ne voulons pas de ses dons ! JE ne veux pas de ce don ! Il ne m'attire que des ennuis !

Le combat faisait rage. Machken, dans le corp du bien aimé de Clarisse, se débattait, projetant tous mes compagnons contre les arbres les plus proche, ou au sol. Je tennais la main froide de Raflon, elle ne me consolait pas, elle me desagrégeait au fur et a mesure, a l'interieur de moi... Je voulais rennoncé à tout ce que j'avais pour qu'il puisse enfin revivre... Qu'il puisse à nouveau marcher... Parler...

Et je criais pour que l'on puisse m'entendre... Pour que ma déesse m'entende...

-Redonnez lui vit ! Redonne lui, toi, Déesse si puissante... J'aimerais le croire ! Prouve le moi en lui redonnant vit ! Je te donnerai en offrande mes pouvoirs... Ils me sont inutile pour le sauver ! Toi seule peut le faire ! Redonne lui vit !

Une lumiere argenté m'apparue alors devant moi... Elle se matérialisa en une femme aux cheveux rouge vif, et des yeux penetrant, d'une couleur dorée, des yeux de chat... Elle avait une tunique, aussi rouge que ses cheveux, qui lui tombait aux chevilles, continuant par une longue traine. Elle n'avait pas de manche...

-Tu n'es pas ma déesse...
-Non, Kim...
-Ne m'appelez pas Kim ! Ce n'est pas mon nom ! Je m'appele Cheynne ! Ma mere m'a abandonnée ! Je ne veux plus entendre ce nom !
-Kim, que tu le vueille ou non, tu seras toujour ma fille ! Tu ne peux le nier ! Je ne peux le nier ! Je suis desolée de t'avoir abandonné, mais je ne voulais pas perdre la vie, et toi avec !
-Que tu perde la vie ?, je m'étais mise a la tutoyais. Tu n'es qu'une égoiste ! Et qu'est ce qui me prouve que tu es ma mere, tu n'étais pas ainsi la derniere fois...
-Je sais... Mais notre déesse m'a prié de venir ainsi.
-JE VEUX VOIR MA DEESSE ! Pas toi...

Je pleurais... J'étais dans un etat exasperant... La vie s'ecroulait devant moi... Ma mere me revenait lors d'un moment propice, lors d'un evennement indomptable : la mort de Rafalon... Et ma déesse qui m'envoyait une de ses servante... Qui m'envoyait MA MERE !!! Elle qui m'avait abandonnée...

Une nouvelle lueur argentée se matérialisa devant moi, au coté de ma mere. Elle avait des cheveux verts, tres longs, ondulés... Superieure en taille a ma mere, elle aborait le sourire qu'il y avait sur chacune de ses reproductions. Elle paraissait réelle, mais quand j'essaya de lui agripé la main, je ne pu l'attraper. Ma main passa à travers. Elle se materailisa entierement. Alors je pu faire ce que je voulais faire un peu plus tot. Je mis sa main sur le front de Rafalon. Ce dernier était froid. Bleu.

-Je ne peux rien faire, Cheyenne... Il est mort, rien ne peut etre plus fort que la mort...
-SI ! L'amour peut etre plus fort !

J'entrai dans les Spyres... Ma tete appuyée sur l'abdomen de Rafalon, les larmes ruisselant sur mes joues pales. Je ne controlais pas mon dessin, je ne savais pas ce que je faisais, mon esprit était guidé par une force inconnue. Elle m'entrainait dans un chemin que je n'avais encore jamais engagé, dont je n'avais pas découvert l'existence. Peut etre que cette force venait de le créer...

Une lumiere bleue apparue de mes mains. Elle penetra le corp de Rafalon... Ce dernier remua... Je ne sais pas si c'est la force qui penetrait en lui qui le fit remuer, mais il remuait.
Il parla... Enfin, il murmura... Il murmura des paroles anodibles... Incompreensible... Il vivait...

Mes pleurs, c'était des larmes de joies... Je l'embrassa...

Mais je réalisai que Machken était encore en train de combattre...